Opéra

Les sept péchés capitaux

Kurt Weill
1933, le monde bascule : Hitler arrive au pouvoir en Allemagne. En cette année noire où les Nazis brûlent les livres, Bertolt Brecht, exilé, écrit un seul texte : Les Sept Péchés capitaux des petits bourgeois. Un texte insolent, grinçant et courageux où il dénonce la bourgeoisie et le clergé s’agenouillant devant la loi du plus fort.

Dans ce spectacle alliant musique, chant, danse et vidéo, une sorte de road movie dont l’esthétique évoque David Lynch, défilent les images d’une Amérique fantasmée. Le metteur en scène Jacques Osinski questionne ce que nous sommes prêts à compromettre pour accéder à nos rêves aujourd'hui. Exilé comme Brecht, Kurt Weill signe une partition en sept mouvements comme autant de péchés, intégrant valse, fox-trot, marche et tarentelle, interprétée par l'Orchestre National de Bretagne dirigé par Benjamin Levy.

Opéra chanté en allemand, surtitré en français

Durée 1h

Dès 10 ans

Dates

Lundi 25 novembre à 20h

Mardi 26 novembre à 20h

Jeudi 28 novembre à 20h  

Tarifs

De 5 à 47 €

Réserver
Distribution

Benjamin Levy  direction musicale

Jacques Osinski  mise en scène    

Yann Chapotel scénographie et vidéos    

Hélène Kritikos costumes      

Catherine Verheyde lumières      

Noémie Ettlin mouvements   

Avec

Natalie Pérez et Noémie Ettlin Anna

Guillaume Andrieux Père

Florent Baffi Mère

Manuel Nùñez Camelino Frère 1

Camille Tresmontant Frère 2

Orchestre National de Bretagne direction Nicolas Ellis.

 

Focus

BORD DE SCÈNE

Mardi 26 novembre à l'issue de la représentation

REPRÉSENTATION SCOLAIRE

Vendredi 29 novembre à 14h30

PROGRAMME

Ballet chanté pour cinq voix et un orchestre de Kurt Weill (1933), sur un texte de Bertolt Brecht et 3 chansons composées par Kurt Weill : Complainte de la Seine (paroles de Maurice Magre) Je ne t'aime pas (paroles de Maurice Magre) et Youkali (paroles de Roger Fernay, arrangement d'Arthur Ouvrard)

L'œuvre est jouée dans la version réduite de Heinz Karl Gruber pour 15 musiciens (éditions Schott)

 

Production   Compagnie l'Aurore Boréale

Coproduction   Théâtre de Caen Avec le soutien de la Région Île-de-France, de la Ville de Paris, du Centre national de la Musique et de l'Adami. Remerciements à l'Arcal.

Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet La compagnie l'Aurore Boréale est subventionnée par la DRAC – Île-de-France.